Ayline Katts [ Terminé ]

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I. Identité de l'individu

Nom : Katts
Prénom : Ayline
Date et lieu de naissance : 20 Juillet 1981 à Chicago ( Illinois )

II. Apparence physique

Couleur des cheveux : Ses cheveux, portés libres sur les épaules, mi longs, sont souples et ondulés, couleur blé mur aux reflets cuivrés.
Couleur des yeux :Son regard est intense et pénétrant, une teinte oscillant entre le bleu et le vert qui lui confère des yeux de chat.
Couleur de la peau : De carnation claire, Ayline possède une peau laiteuse qui ne bronze que très peu.

Taille : Elle est de taille moyenne, environ 1m70
Poids : Son poids est proportionnel à sa taille, soit à peu près 56 kgs.

Signe particulier : Les cicatrices de ces séances d’auto mutilations sur les ses bras. Ainsi qu’un tatouage tribal à son aisne, dans le bas de son dos, et un autre à la base de sa nuque.

III. Description psychologique

Qualités :
Des qualités chez Ayline…. Hum. Disons qu’elle aurait pu être une jeune femme tout à fait équilibrée, ayant été il y a longtemps une enfant souriante, ouverte et curieuse à tout. Elle était innocente et respirait la joie de vivre, malgré une entrée dans la vie assez difficile.
Mais cette enfant est morte, et tout ce qu’il y avait de bon en elle a disparu en même temps.
Désormais, les seules « qualités » qu’ont pourrait lui prêter sont qu’elle est loyale .
Elle est franche, dans le sens que si elle a envie de dire m**** a quelqu’un elle n’hésitera pas. C’est une forte tête, un caractère implacable, et n’est pas né celui qui lui marchera sur les pieds.

Elle n’a pas froid aux yeux et ne recule devant rien. On pourrait même dire qu’elle est accro à l’adrénaline, tenant les paris les plus fous, toujours à la recherche de sensations fortes, et de frôler la mort. Elle joue avec la mort plus précisément. Que se soit avec la drogue, l'alcool, ou bien sur une moto ou dans une voiture de sport, elle repousse toujours plus loin ses propres limites. C’est par ailleurs une mordue des sports extrêmes ( base jumping, saut à l’élastique, sports mécaniques, etc)

Défauts :
Des défauts… A ce stade, peut on appeler cela des défauts ?
Ou bien simplement de la folie… La folie, cela, Ayline connait , elle a plongé dedans il y a bien longtemps. Elle devenu froide, calculatrice. On la suit, ou bien on crève sur place. En résumé, c’est cela. Elle ne regarde jamais derrière elle. Ceux qui l’apprécie, ou qui veulent l’aider, doivent suivre son rythme de vie effréné et complètement déjanté. Sinon, tant pis pour eux.

Elle déteste pardessus tout les geignards, les peureux, ou bien ceux qui s’apitoient sur leur sort.
Elle possède de nombreux vices, tabac, drogue, alcool, etc...
A croire que seuls les extrêmes lui permettent de se sentir « en vie ». Le reste l’ennuie rapidement, ou la dégoute.
Cynique, amère, elle l’est. Insensible aussi. Rien ne trouve grâce à ses yeux, à son cœur. Rien sauf peut être juste une chose…. Le regard d’une fillette innocente terrorisée. Celle qui est toujours tapie au tréfonds de sa mémoire et qui parfois sanglote la nuit dans l’obscurité.
Pour elle les lois sont faites pour être enfreintes. Que ce soit celles des hommes comme celles de la nature.
Impitoyable, immorale… voilà comment l’on pourrait la décrire en quelques mots.
Mais tout ceci c'était bien sûr avant. Avant le virus, avant les infectés.

Signe particulier :
C'est une tête brulée, une kamikaze même, aux méthodes plutôt bourrines.

Elle possède bien évidemment plusieurs armes, à feu, et blanches, et son unique moyen de transport, sa moto. Elle sait parfaitement se battre à mains nues également. Assez peu sociable ni très bavarde, elle préfère la solitude.

IV. Passé

Histoire :
On dit parfois que des fées se penchent sur le berceau d’un enfant. Ce ne fut pas le cas pour la petite Ayline.

Elle vit le jour en plein été 1981. Sa mère, une junkie, accoucha sous X dans un hôpital miteux d’un quartier défavorisé de Chicago.
Elle passa les premières semaines de sa vie entre la vie et la mort, en cure de désintoxication forcée, puisque sa mère se droguait toujours, pendant sa grossesse. Une chance , si l’on puit dire, que l’enfant soit née « normale » sans malformations ou tare aucune.
Le bébé fut confié à l’assistance publique, pour être adopté. Malheureusement, elle grandit dans cet assistance, aucun couples ne la choisissant.
Pourtant c’était une charmante fillette, avec ses boucles blondes vénitiens, et ses prunelles aigues marines, cette teinte si particulière qui rappelait des yeux de chat.

Puis, alors qu’elle venait de fêter ses 6 ans, une famille s’attarda sur elle. Un couple à priori sans histoires, fraichement débarqué dans le coin, et qui cherchaient un enfant à chérir.

La petite Ayline fut donc adoptée.

Cependant, ce qui semblait être enfin la fin du cauchemar pour la fillette n’en était en fait que le début… Le début d’une descente longue et lente aux Enfers.
Les premières semaines furent idylliques… puis petit à petit , l’enfant se mit à redouter la nuit. La nuit, où son « père » venait se glisser sous ses draps, lui murmurant des propos incestueux à l’oreille, et collant son corps bedonnant au sien.
Ses nuits où il venait soit disant lui apprendre l’art de devenir une femme, et lui dire combien il l’aimait.

Ayline, l’enfant souriante et gaie mourut ainsi, à petit feu. Elle devint triste, solitaire, renfermée. Agressive aussi à ses heures, notamment envers ses petits camarades. Elle devint une élève arrogante, indisciplinée, plus souvent dans le bureau du principal qu’en classe.

Et plus elle grandissait, plus son corps se modifiait, et plus ses nuits devenaient cauchemardesques.

Quant à sa « mère », elle ne s’apercevait de rien, ou plutôt ne voulait rien voir.

Ayline était désormais partagée entre deux personnalités : l’une , à l’extérieur des murs de son Enfer, où elle devint une adolescente rebelle, solitaire et hargneuse. Bagarreuse, indisciplinée, elle commença à fumer, boire et à se droguer également (marijuana, ectasie principalement ). Elle pratiqua également de l’auto mutilation sur ce corps qu’elle haissait, cause de tous ses malheurs, s’entaillant l’intérieur de ses bras avec des lames de rasoirs ou cutter.

Son autre personnalité, c’était dans cette maison, avec ce père monstrueux. Elle était toujours cette petite fille terrorisée qui ne pouvait rien dire, ni bouger. Qui , muette, se laissait faire, vomissant après chaque « séances ».

Elle avait alors 14 ans.

Son état ne fit qu’empirer les deux années qui suivirent . Elle devint de plus en plus incontrôlable, en proie à des crises de violence, aussi physique que verbale.
Elle développa également un gout certain et prononcé pour les vices qui la possédait déjà , et d’autres, nouveaux.
Toujours droguée, et alcoolique notoire, fumant à tout va. L’auto mutilation avait cessé, remplacé par une autre auto destruction : le sexe.

Elle avait découvert que son corps était finalement une arme redoutable. Elle était belle, très belle, et déjà femme, bien malgré elle. Et elle avait également découvert que bien des hommes la convoitait en silence. Elle s’amusa alors à coucher et droguer des hommes qui étaient tombés sous ses charmes, puis elle les dépouillait de leurs argent, bijoux etc… Cela permettait ensuite de se payer de la drogue, ou du tabac.

Puis vint ce soir, à l’aube de ces 17 ans. Elle rentra tard chez elle, passablement shootée et vêtue légèrement.
S’en suivit une crise de jalousie de son « père », et une dispute monumentale. Sa « mère » était absente, en visite chez une amie souffrante.

Ayline entra alors dans une sorte de transe, une crise de violence encore plus terrible que les autres… et elle tua sauvagement cet homme qui l’avait souillée, détruite, d’un violent coup sur la tête , puis s’acharnant sur lui avec un couteau à viande.
Une fois la crise passée, elle même couverte de sang, elle ne paniqua pas, elle ne regretta pas son geste.

D’un calme olympien elle partit prendre une douche et se changer, brula ses vêtements salis. Elle effaça ses empreintes de l’arme du crime, et imbiba d’essence la maison et le corps de l’homme qu’elle avait tué.

Puis elle mit le feu à la demeure avant de partir avec ses maigres bagages.

Elle quitta Chicago, et partit pour New York. La mort de son incesteur aurait pu la soulager, la « guérir », mais il n’en fut rien. Son mental avait trop souffert pour s’en remettre, elle n’avait pas vraiment la notion du bien ou du mal. Ce qu’elle voulait, elle le prenait. C’était aussi simple que çà.

Elle continua à arnaquer les hommes qu’elle croisait le soir dans les bars ou discothèques. Elle se droguait toujours, ajoutant la cocaïne à son panel de substances illicites. L’alcool était toujours un bon décontractant pour elle également.

Jouant à repousser ses propres limites, taquinant la mort, elle est une accro aux sports extrêmes, et n’hésitera jamais à relever les paris les plus fous possibles comme une course poursuite à moto dans une circulation dense par exemple en roulant à 200km/h. Elle prend son pied ainsi.
Plus d’un la connaissant la traite de « folle » d’ailleurs à ce sujet, comme sur biens d’autres.

Il y a quelques années de cela, elle croisa la route d'un homme fort mystérieux: Charles Hawkins.En fait cette rencontre fut décisive dans sa vie.
Elle s'était trouvé un pigeon parmi d'autre ce soir là, dans un bar à la mode de Manhattan. Sauf qu'a ce jeu du chat et de la souris, elle n'avait pas compris que ce coup ci la souris, c'était elle. Effectivement, l'homme qu'elle avait abordé ce soir là n'était autre qu'un psychopathe avec plusieurs victimes à son actif, recherché sur la côte Ouest. Mais cela Ayline l'ignorait.

Elle ne remarqua pas non plus qu'un homme les observait depuis le début: Charles Hawkins. Un contrat étant sur la tête du fugitif, Hawkins était là pour l'arrêter, et empocher la prime, une somme rondelette par ailleurs. Et Ayline lui faisait office d'appât, sans même qu'elle le sache.
Hawkins les suivit jusqu'à la chambre d'hôtel où la jeune arnaqueuse comptait plumer son pigeon. Ce ne fut que lorsque celui ci l'agressa que Hawkins surgit, et le mit hors d'état de nuire, sous le regard ébahi et furibond de la jeune femme.

Charles fut d'abord amusé, puis intrigué par Ayline. Autant de haine ,de rage en cette jeune personne, c'était peu commun. Chose exceptionnelle, il décida alors de tendre une main à Ayline: puisqu'elle semblait douée pour se battre, et pleine de hargne, elle pourrait faire une potentielle chasseuse de prime douée. Intelligente, rusée, bagarreuse n'ayant pas froid aux yeux , menteuse hors pair, tous les défauts de la jeune femme pouvaient s'avérer des qualités dans ce boulot. Et elle pourrait ainsi canaliser toute cette rage dans quelque chose d'utile, au lieu d'arnaques de bas étages.

D'abord méfiante, Ayline se laissa tentée, et devint en quelque sorte la "protégée" d'Hawkins, pour ensuite devenir son égale.

Douée, très douée, ils travaillèrent de concert, ensemble ou séparément.
La jeune femme est toujours aussi incontrôlable qu'auparavant, mais apprit petit à petit à maitriser certaines de ses ardeurs. Désormais, même si elle continue de vivre au gré de ses propres règles, elle malgré tout devenue plus pondérée dans ses actes. De surcroit, elle a cessé de se droguer. Son boulot de chasseuse de prime nécessite d'avoir un minimum l'esprit clair.
Mais tout bascula à nouveau en 2007.
Après avoir silloné le pays au gré de divers contrats, Ayline est de retour à New York.
Hawkins lui est sur la côte Ouest. C’est alors que le virus va se propager, multipliant infectés et semant la mort derrière lui.

Ayline va devoir alors lutter sans pitié et sans relache pour survivre dans le chaos qu’est devenu la Grande Pomme. Son esprit tête brulée, et sa « folie » se revelent désormais des atouts dans ce combat pour survivre. Depuis 3 ans maintenant, c’est une guerrière aguerrie et sans pitié aucune qui traque et élimine les infectés nuit après nuit.
Elle n’a jamais revu Hawkins et ignore si il est encore en vie. Même si il lui arrive de croiser la route d’autres survivants et de les aider, elle demeure solitaire dans l’âme.


V. Autres informations

Célébrité sur l'avatar : Milla Jovovoich
Personnage vacant : Oui (), Non (x)

Présence sur le forum : 5/7 jours
Qualité de votre rp, selon vous : assez bonne

Fin de la connection...
Merci de votre visite et bonne chance!

Bienvenue, tu es validée ^^
Au passage, j'aime beaucoup ton personnage

Merci beaucoup

Au fait, concernant les armes, tu as une idée de celles que tu voudrais? Ou tu préfères attendre que je fasse le mémento pour n'avoir plus qu'à choisir? ^^

Bah je vais pas faire ma difficile, je vais attendre le mémento, car de toute manière j'ai pas trop d'idée arrêtée la dessus pour l'instant